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Le Péquiste, Sylvain Rochon, veut un agenda collectif au lendemain de l'élection partielle

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25 février 2015
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Sébastien Roy
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Par Sébastien Roy, Journaliste

«Au lendemain du 9 mars, il nous faut, urgemment, un agenda collectif», a déclaré le candidat du Parti québécois, Sylvain Rochon, en conclusion du débat opposant les huit candidats à l’élection partielle de Richelieu.

«Faire des rêves communs. Ouvrir des chantiers où l’on se reconnait toutes et tous où l’on se fait confiance. On a besoin de cohésion, de former une équipe», a-t-il ajouté.

Le débat s’est déroulé de façon polie sans grandes oppositions. Tous ont insisté sur l’importance d’aller voter le 9 mars prochain ou au vote anticipé, les 1 et 2 mars.

Sylvain Rochon a pu démontrer la connaissance qu’il a de la région et de ses enjeux et a pris parti clairement pour les plus démunis qui composent plus de 15 % de la population et pour les groupes communautaires qui leur viennent en aide. «Je crois qu’il faut se préoccuper de celles et ceux qui ont de la difficulté à joindre les deux bouts et seront les plus touchés par les compressions et les restructurations libérales, a-t-il déclaré, notamment, parce qu’on coupe les vivres aux organismes qui sont là pour tenter d’atténuer les effets de la pauvreté sur ces familles monoparentales, ces personnes âgées, ces jeunes à emploi précaire.»

Sylvain Rochon a eu l’occasion d’exprimer son appui aux projets porteurs pour la région comme le pôle logistique de Contrecoeur, l’Écomonde, la Technopole en écologie industrielle ou le monorail à grande vitesse, et de réitérer son opposition au transport et à l’entreposage de pétrole issu des sables bitumineux. Il a cependant déploré que le gouvernement ait réduit des deux tiers le budget consacré au développement économique, ce qui rendra difficile la mise en œuvre des projets issus du Forum économique et portés par les entrepreneurs.

« Je suis né ici, j’ai grandi ici, j’ai travaillé ici », a rappelé le candidat péquiste. «Toute ma vie, à la télé, à la radio, puis au bureau des députés, j’ai écouté vos craintes, vos rêves et vos espoirs, tant personnels que collectifs, pour ensuite les faire connaître. Avec un bonheur qui n’a jamais diminué en intensité et avec une foi, en vous et en la région, inébranlable. À 53 ans, je décide de pousser cet engagement professionnel et citoyen jusqu’au bout. Si vous me faites confiance le 9 mars, chaque jour que je quitterai la région pour Québec, j’aurai vos préoccupations dans mes bagages. Je serai votre voix à l’Assemblée nationale, m’y tenant dans la seule position digne du Sorelois que je suis : debout.»

 

SOURCE: Communiqué

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