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Le ministre D'Amour a présenté sa vision de la stratégie maritime en compagnie du candidat libéral Benoit Théroux

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5 mars 2015
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Sébastien Roy
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Par Sébastien Roy, Journaliste

C’est lors d’un dîner organisé, suivi d'une rencontre à l'Hôtel de ville de Sorel-Tracy, en collaboration avec la Société de développement économique de Sorel-Tracy, que le candidat libéral à l’élection partielle dans Richelieu, Benoit Théroux, ainsi que son collègue et ministre délégué aux Transports et à l’Implantation de la stratégie maritime, Jean D’Amour, ont rencontré les intervenants socioéconomiques et récréotouristiques du secteur maritime de la région.

Le ministre D’Amour a eu l’occasion de leur présenter la vision de la stratégie maritime, un plan ambitieux qui d’ici 2030 permettra notamment la création de 30 000 emplois dans toutes les régions du Québec.

De passage dans la région, le ministre a expliqué aux représentants de Logistec Arimage Contrecoeur, l'équipe d'organisation du 375e anniversaire de la Ville de Sorel et des membres de la Corporation du site historique maritime de Sorel-Tracy toutes les possibilités dont les citoyens de Richelieu pourraient bénéficier avec le déploiement de la stratégie maritime, constituant un des projets phares du gouvernement libéral en matière de développement économique régional.

«Plus que jamais le Québec est déterminé à mettre en valeur le potentiel économique du Saint-Laurent. L'Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l'Union européenne, conjugué avec l'Accord de libre-échange américain (ALÉNA), permettra aux entreprises québécoises de se tailler une place de choix parmi les principaux pôles logistiques, favorisant ainsi les activités d'importation et d'exportation entre les deux continents. Par la stratégie maritime, nous soulignerons également l'importance du rôle économique que jouera le tourisme de croisière, ce qui permettra la création de nouveaux emplois, bénéficiant ainsi à toutes les régions du Québec», a mentionné le ministre D’Amour.

«Nous devons saisir pleinement toutes les opportunités de développement qui découleront de l’accord de libre-échange avec l’Europe, tout en encourageant l’essor du tourisme de croisière, qui est en croissance constante. D’ailleurs, le 20 février dernier, la ministre du Tourisme, Dominique Vien, annonçait une enveloppe gouvernementale de 30 M$ servant à financer des projets touristiques qui seront développés le long du fleuve Saint-Laurent », a ajouté M. Théroux. 

Le projet Écomonde, une occasion rêvée pour donner un réel attrait touristique à notre région

Les participants ont profité de la présence du ministre D’Amour pour lui présenter le projet récréotouristique Écomonde situé à la jonction de la rivière Richelieu et du fleuve Saint-Laurent. Ce dernier a d’ailleurs été présenté comme une occasion rêvée pour donner un réel attrait touristique à la région de Richelieu. Axé vers une politique de développement durable, ce projet est bien plus qu'un complexe de construction écologique. Il mettra en lumière l’environnement de Richelieu avec la biosphère du lac Saint-Pierre à travers les excursions, la culture et les commerces locaux avec les spectacles, la gastronomie et l'hébergement, et ce, tout en respectant les plus hauts standards environnementaux.

Conscient du dynamisme entrepreneurial présent au sein des régions du Québec, Jean D’Amour a par ailleurs déclaré : «Chacune de nos régions aura, par ses connaissances et son expertise, un rôle à jouer dans le déploiement de cette stratégie qui stimulera la formation de la main-d'œuvre. C'est le cas pour Richelieu, qui avec ses infrastructures portuaires, ses projets maritimes et son service de traversier offert par la STQ agira à titre d'acteur clé.»

«Je veux concrétiser ce projet unique et rassembleur qui sera une fierté collective pour notre région. Ce complexe écotouristique d'envergure internationale contribuera à la relance économique de Richelieu et à son rayonnement, tout en respectant sa biodiversité. Je veux encourager l’implantation d’une zone industrialoportuaire dans notre région, et ce, dans le respect de nos communautés et de l’environnement. Il faut saisir dès maintenant l’immense potentiel de développement de notre économie maritime», a conclu M. Théroux.

 

SOURCE: Communiqué

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